À l’en croire, les acteurs culturels ont un rôle important à jouer dans la lutte contre la fraude et la corruption.
«Ils sont proches des populations et ont des messages poignants à faire passer à travers les graffitis et les chansons», ajoute Mme Diakhaté.
D’après de nombreuses organisations de la société civile, le Sénégal reste gangréné par la corruption. D’ailleurs, selon le rapport de Transparency international, le Sénégal se trouve toujours dans la zone rouge.
«Avec la nouvelle stratégie nationale de lutte contre la corruption, nous allons bientôt quitter la zone rouge et aller vers une notation meilleure», promet la présidente de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac).
Tribune