Le procureur, dans son réquisitoire, requiert la confusion des peines à 2 ans dont 1 an ferme. Il demande que cette peine soit accompagnée d’un mandat d’arrêt.
Les quatre chefs d’accusation qui pèsent sur Ousmane Sonko : la diffamation, le faux, l’usage de faux et l’injure publique.
L’audience est suspendue pour 5 minutes par le juge qui donne le verdict au retour de la suspension.